1ère Marketplace dédiée à l'art africain classique

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  • Masque Punu, Gabon Afrique. Important masque Punu. Une belle coiffe ouvragée, une très bellle expression sereine font de ce masque une pièce exceptionnelle réservée à des dignitaire de haut rang. H. 33,5cm. ( Afrique, Art africain, Civilisation et ethnies).

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  • Masque zoomorphe à cornes Afrique. Beau masque zoomorphe à cornes. Probablement issu des régions limitrophes aux Ibibios (Nigéria). Les yeux sont surmontés de kaolin rafraîchi et les cornes se rejoignent à leurs sommets conférant à l’ensemble les attributs caractéristiques d’un masque initiatique de société secrète. Bois, Caolin. H. 38cm – (Afrique, Art africain, Civilisation et ethnies).

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  • Les Lobi vivent dans le sud-ouest du Burkina Faso et du nord Côte-d’Ivoire et le Ghana. ils sont extrêmement résistants à toute forme d’autorité politique centralisée. Au lieu de leurs communautés sont fondées sur les lois de Dieu. Le personnage central dans chaque communauté Lobi est le spécialiste religieux nommé le Thildar. ce devin est responsable de la communication avec les esprits qui régissent la communauté et protéger les membres de chaque famille contre les accidents, la maladie, la violence et toutes les menaces multiples personnes rencontrent dans l’environnement hostile de l’Afrique de l’Ouest. Les Lobi sculpté représenter les esprits de la nature qu’ils appelaient Thil. Chacune de ces figures affiche différents gestes ou postures, certains d’entre eux peuvent avoir deux ou même trois têtes, quelques figures féminines transporter un bébé sous le bras. Ces caractéristiques uniques représentent le talent particulier ou la puissance de l’être spirituel qu’ils incarnent. Un personnage levant un bras place un barrage à l’entrée des esprits malveillants à la maison familiale.

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  • Le BYERI, culte des ancêtres, permettait aux vivants d’entrer en contact avec leurs défunts. Les rites étaient organisés pour obtenir leur protection avant toute décision essentielle touchant aux alliances, aux activités de subsistance, à la guerre et à la guérison. Des boîtes reliquaires, surmontées de figures en pied ou de têtes, constituaient les objets cultuels majeurs. Elles contanaient des crânes entiers ou des fragments, des os longs tels des tibias, et des dents, qui avaient été prélevés puis nettoyés quelques mois après le décès d’un parent important pour bénéficier de sa force vitale. On y mettait aussi des cauris et de petits éléments en fer, cuivre ou laiton. Lors de l’initiation des adolescents, les sculptures étaient désolidarisé du contenant. Elles participaient à une mise en scène qui permaittait aux novices de communiquer avec leurs ancêtres et de découvrir leur généalogie. Cette relation entre les vivants et les morts se renforçait grâce aux offrandes faites par l’officiant des cultes. L’aspect luisant des pièce donne l’impression que le bois suinte parce qu’il est saturé ; ce phénomène est dû aux matières les imprégant. Taillés dans un bois léger de couleur claire, ces sculptures étaient enduites de vase puis d’un mélange de charbon et d’huile de palme sans cesse renouvelé lors des rites. Les corps étaient par aillleurs solicité pour des soins thérapeutiques. Le nez et la bouche de certaines oeuvres ont été grattés. De petits prélèvements inorposés à deiverses substances étaient absorbés par les initiés pour se soigner ou pour se stimuler lors des rituels.

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  • Ancient anthropomorphic bellows surmounted by an ovoid head in which the orbits are devoid of eyeballs. The brow bones are underlined by a fine incision in the wood, the prognathic mouth is in pout. The object being laid flat, the rear surface has characteristic erosions. According to an ancestral technique, these fire bellows maintained the fire permanently for a few days. The apprentice blacksmiths were introduced by the ancients to the sexual symbolism of the forge bellows. An eroded patina confirms its frequent use.

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  • Important masque de danse Bamiléké (Cameroun)

     

    Les traits sont ici particulièrement expressifs avec un sourire profondément énigmatique.

     

    Le menton et la coiffe sont recouverts d’une structure de cordes finements tressées et habilement maintenues à plat.

     

    Le travail de l’artiste sculpteur est ici particulièrement remarquable en raison du relief extrêmement prononcé et proéminent de chacune des parties du visage : arrête du front, arcades sourcillères, yeux, nez, bouche, menton, oreille et coiffe.

     

    Ce type de masque était amené à “sortir” pour rythmer les différents rituels de la vie de la communauté : naissance, mariage, célébration, disparition d’un notable, etc.

     

    Dimensions : 38 x 29 x 17CM.

     

    Provenance : ancienne collection française.

     

    Belle patine d’usage de l’ensemble. Matériaux : Bois, cordelettes.

     

    Livré avec son socle. (Afrique, Art africain, Civilisation et ethnies -401afr)

     

    Remise d’un certificat.

     

    Envoi soigné et sécurisé partout dans le monde.

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  • Masque heaume, à une seule face, taillée dans un bois très léger. Sur l’extrémité supérieure, est visible une crête.
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  • The Idoma are an ethnolinguistic group that mainly inhabits the western regions of Benue, Nigeria, and related groups are found in Cross Rivers State, Enugu State and Nasarawa State in Nigeria. The Idoma language is classified in the Akweya subgroup of the idomoid languages ​​of the Volta family – Niger, which includes the Alago, Agatu, Etulo and Yala languages ​​of the Benue, Nasarawa and Northern Cross states. The Akweya subgroup is closely linked to the Yatye-Akpa subgroup. Most of the territory is inland, south of the Benue River, some seventy-two kilometers east of its confluence with the Niger River. The Idomas are known to be classy “warriors” and “hunters”, but welcoming and peace-loving. Most of the land of Idoma remained largely unknown in the West until the 1920s, leaving much of the colorful traditional culture of Idoma intact. The population of Idoma is estimated at around 4 million. The Idoma people have a traditional chief called Och’Idoma who is the head of the Traditional Council of the region of Idoma while each community has its own traditional chief such as Ad’Ogbadibo d’Orokam, chief of Enenche. The palace of the Och’Idoma complex is located in Otukpo, in the state of Benue. The Idoma people have a traditional chief called Och’Idoma who is the head of the Traditional Council of the region of Idoma while each community has its own traditional chief such as Ad’Ogbadibo d’Orokam, chief of Enenche. The palace of the Och’Idoma complex is located in Otukpo, in the state of Benue. The Idoma people have a traditional chief called Och’Idoma who is the head of the Traditional Council of the region of Idoma while each community has its own traditional chief such as Ad’Ogbadibo d’Orokam, chief of Enenche. The palace of the Och’Idoma complex is located in Otukpo, in the state of Benue.
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